OM - FC Porto (0-2) : La prouesse historique des Marseillais vue par Twitter

Le désarroi de Dimitri Payet et André Villas-Boas.
Le désarroi de Dimitri Payet et André Villas-Boas. / NICOLAS TUCAT/Getty Images
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À jamais les premiers. Les termes manquent pour caractériser cet exploit misérablement historique. Alignant une 13ème défaite consécutive en Ligue des Champions face au FC Porto (0-2), ce mercredi, l'OM vient tout simplement d'écrire l'une des pages les plus honteuses du football français. Et Twitter n'a pas manqué d'accabler le club olympien.


L'Histoire fait traditionnellement la part belle aux héros. Diego Maradona, décédé ce mercredi, en est le symbole ultime à l'échelle du ballon rond. Pourtant, ce soir, les Marseillais ont réalisé la prouesse d'entrer dans le Panthéon du football par leurs échecs et leur médiocrité dans la plus prestigieuse scène européenne.

13 pour l'Histoire...

13... le précédant record d'Anderlecht de 12 défaites consécutives est de l'histoire ancienne. Étendard de la lose en Champions League, l'OM a repoussé les frontières de la honte ce mercredi soir.

Au milieu des critiques, l'amour de certains supporters est visiblement inébranlable :

Le mirage Luis Henrique

Il aurait pu être l'élu de cette rencontre. Le sauveur du peuple marseillais.

Labellisé "pépite" par André Villas-Boas avant même son arrivée, le Brésilien de 18 ans a affiché des promesses lors de ses rares entrées en jeu (42 minutes au total), mais pas suffisamment pour convaincre le coach lusitanien de le titulariser. Contre toute attente, Luis Henrique a honoré sa première titularisation dans un match ô combien capital.

De quoi ravir les supporters olympiens, qui ont milité pour voir leur pépite titulaire :

Dès l'échauffement, ça commence déjà à s'enflammer...

Au milieu de l'euphorie, certains se montrent tout de même sceptiques.

Son début de match a été à son image : provocateur mais brouillon.

Avant de monter en puissance... et d'à nouveau enflammer les groupies de l'OM.

Des promesses, toujours des promesses mais l'Auriverde manque encore d'épaisseur. Remplacé à la 59ème minute de jeu par Dimitri Payet, le bilan de sa première titularisation est mitigé.

Le début du cauchemar

Malgré une entame de match pleine d'envie, les Marseillais sont rapidement tombés dans leurs travers. À la 39ème minute de jeu, Zaidu Sanusi a rédigé les premières lignes d'un prélude historique.

Ne se laissant pas abattre, les Olympiens ont poussé, provoqué l'expulsion de Grujic (67'), mais n'ont rien pu faire rien face au destin. Balerdi provoque un penalty, se fait expulser, et voit Sergio Oliveira le convertir.

À jamais les premiers...