Kingsley Coman compare la mentalité au PSG, à la Juve et au Bayern

Dans les colonnes du journal Bild, Kingsley Coman a évoqué les différences de mentalité et d'exigence dans les trois clubs qu'il a côtoyés, avec notamment un grand changement au Bayern par rapport à la Juve ou au PSG.
Depuis le 23 août dernier, et son but victorieux lors de la finale de la Ligue des Champions contre le Paris Saint-Germain (1-0), Kingsley Coman a pris une nouvelle dimension avec le Bayern Munich. Meilleur joueur bavarois (avec Neuer et Lewandowski) lors de la première partie de saison, le Français arrive dans la fleur de l'âge.
?Coman :
— FCBayern France ?? (@FCBayern_French) January 5, 2021
« Nous sommes jeunes ou dans notre prime, donc nous avons encore du temps. Nous pouvons et voulons défendre le titre. Entre 2016 et 2018, le Real Madrid a remporté la LDC à trois reprises. Je suis sûr que nous pouvons façonner une ère avec cette équipe. » pic.twitter.com/dLMgNqZklV
L'occasion pour lui de dresser un premier bilan sur l'ensemble de sa carrière, et de comparer les exigences dans chacun des trois clubs dans lesquels il a évolué : à savoir le PSG, la Juventus Turin et donc le Bayern.
Le Bayern, un palier supplémentaire
"Que ce soit à la Juve, à Paris ou au Bayern, il faut toujours gagner dans ces équipes. La différence au Bayern est la suivante: après une victoire 3-0, on n'est ni détendu ni calmé. Ici, on continue comme si le score était de 0 à 0. C'est quelque chose de très allemand", a expliqué l'international français, interrogé par le quotidien allemand Bild.
Kingsley Coman : "Après le titre de #UCL en 2020 sans supporters, je veux célébrer le titre avec nos fans en 2021. C'est pourquoi on doit défendre cette Coupe ! Et après ça j'aimerais gagner l'Euro avec la France. Désolé pour l'Allemagne !" (Bild) pic.twitter.com/ydUbQx1z0d
— Instant Foot ⚽️ (@lnstantFoot) January 5, 2021
Cela n'a franchement rien d'étonnant, tant l'institution Bayern Munich paraît solide. Jamais pris dans la tempête, les Roten font surtout de la victoire une banalité. En effet, malgré des performances incroyables depuis plus d'un an, les Munichois ne sont jamais tombés dans l'emballement. Cela a permis à Coman de devenir un ailier phénoménal.