Les révélations de Kingsley Coman sur la finale face au PSG

Kingsley Coman s'est montré impitoyable face à son club formateur du PSG en finale de LDC
Kingsley Coman s'est montré impitoyable face à son club formateur du PSG en finale de LDC / Pool/Getty Images
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Pour Le Parisien, Kingsley Coman est revenu sur la finale de Ligue des Champions remportée par le Bayern Munich face au PSG avec comme seul but de la rencontre, celui marqué par l'attaquant français. Un entretien où il évoque sa joie mais aussi une certaine tristesse pour son club formateur.


Un sentiment partagé pour Kingsley Coman. L'attaquant du Bayern Munich, auteur du seul but de la rencontre en finale de Ligue des Champions face au PSG, en août dernier, est revenu sur cette soirée mythique pour Le Parisien. Entre joie et tristesse.

L'international français, rentré dans la légende avec cette réalisation et ce trophée, ne cesse de prendre du galon depuis ses débuts en carrière. Formé à Paris, il est transféré ensuite à la Juventus avant de connaître la gloire au Bayern. Une trajectoire impressionnante, mais loin de ses bases.

Une certaine tristesse pour le PSG et Presnel Kimpembe

Le numéro 29 de l'équipe entrainée par Hans-Dieter Flick, s'est mué en bourreau de son club formateur lors de cette finale de LDC. Un moment unique qu'il n'est pas prêt d'oublier même si une nouvelle saison a depuis démarré.

"J'ai été blessé, j'ai travaillé dur pour revenir et c'est donc un jour que je n'oublierais jamais. Comme dans un rêve. Personne ne m'enlèvera cette finale, ni à moi, ni à mon club. Avant et pendant le match, j’étais focalisé sur le Bayern et la victoire. "

Kingsley Coman

Tant bien lui en a pris étant donné que son but a crucifié les Parisiens. Parmi eux, son grand ami Presnel Kimpembe. Abattus à la fin de la rencontre, les joueurs de la capitale étaient réellement déçus de leur performance et de cette défaite. Une tristesse qu'a aussi ressentie Coman.

"Après la rencontre, quand j’ai mis le professionnalisme de côté pour laisser parler mes émotions, j’ai alors ressenti un peu de tristesse pour Paris. Presnel est comme un frère pour moi. Il a eu toujours eu en lui cette âme de leader. "

Kingsley Coman

De belles déclarations, qui malheureusement pour le PSG ne ramèneront pas pour autant la coupe aux grandes oreilles dans l'armoire à trophée. Mais il n'est pas interdit de croire que les deux équipes peuvent de nouveau se retrouver lors de cette nouvelle campagne. Pour, cette fois, un scénario plus favorable au groupe de Thomas Tuchel ?