Real Madrid - FC Barcelone : L'énorme craquage de Lamine Yamal contre Vinicius Jr à la fin du Clasico
- Lamine Yamal et Vinicius Jr se sont violemment accrochés à la fin du Clasico au Bernabéu.
- Le Brésilien a multiplié les provocations envers les joueurs du Barça.
- Le Real Madrid s'est imposé sur le score de 2 buts à 1 face au FC Barcelone.
Par Walid Soltani

Le Clasico a encore tenu toutes ses promesses, sur le terrain comme en dehors. Si le Real Madrid s’est imposé dans l’intensité, la fin de match a été marquée par une scène tendue entre Lamine Yamal et Vinicius Jr, deux des jeunes visages les plus médiatiques du football mondial. Et une fois encore, le Brésilien n’a pas brillé pour les bonnes raisons.
Le Santiago Bernabéu a vécu un Clasico sous haute tension. Si la pelouse a offert du spectacle, c’est surtout après le match que les esprits se sont réellement échauffés. Lamine Yamal, déjà visé tout au long de la rencontre, a fini par exploser face à Vinicius Jr. dans une altercation tendue, devant les caméras. Le jeune ailier du Barça, habituellement calme, a craqué sous la provocation du Brésilien, fidèle à sa réputation de joueur aussi talentueux qu’irritable.
Selon Mundo Deportivo, Vinicius aurait lancé plusieurs piques à Yamal durant le match, moquant son jeu et sa jeunesse. Une fois la rencontre terminée, le ton est monté d’un cran : “Ne me touche pas, pleurnichard !”, aurait lâché le Madrilène, dans une séquence qui a fait le tour des réseaux. L’épisode illustre encore la personnalité volcanique de Vinicius, incapable de contenir ses nerfs, même dans les plus grands rendez-vous.
Vinicius, encore une fois au cœur de la polémique
Le Brésilien a une nouvelle fois fait parler de lui pour tout sauf son football. Déjà frustré d’avoir été remplacé par Xabi Alonso en cours de match, Vini s’en est pris tour à tour à plusieurs Barcelonais : Pedri, Ferran Torres, puis Lamine Yamal.
Ses cris, ses gestes d’humeur et son attitude provocatrice ont plombé la fin de rencontre, éclipsant la performance collective du Real. Si ses coéquipiers, Bellingham et Mbappé en tête, ont tenté de calmer la situation, la séquence rappelle qu’avec le numéro 7 madrilène, le spectacle ne s’arrête jamais au coup de sifflet final.
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