PSG : Le Barça, les blessés, Zaïre-Emery... Luis Enrique prend la parole avant le LOSC en Ligue 1
- Le PSG affronte le LOSC demain soir, à 20h45 pour clôturer la 7è journée de Ligue 1.
- Luis Enrique s'est présenté en conférence de presse en veille de match.
- L'entraineur asturien est notamment revenu sur le succès à Barcelone mercredi (1-2).
Par Ilies Peeters

A la veille du déplacement à Lille, et trois jours après Barcelone, Luis Enrique s'est exprimé à Poissy face aux journalistes. L'entraineur du Paris Saint-Germain est revenu sur le succès en Ligue des Champions et a évoqué l'état de santé des blessés actuels.
Ce PSG, le groupe avec lequel il prend le plus de plaisir ?
C'est difficile d'évaluer ça. J'ai eu la chance d'avoir beaucoup de bonnes équipes et d'avoir de bons joueurs. Mais je ne sais pas.
Ce qui a changé sur les coups de pied arrêtés
Je ne peux rien expliquer, car sinon, tout le monde le saurait. On travaille comme chaque équipe. L'an dernier on s'est beaucoup amélioré. On a eu de meilleures statistiques sur coups de pied arrêtés, mais je ne peux rien dire.
Comment travaille-t-il avec les entraineurs des jeunes
Il y a une réelle connexion. Mais quand tu es l'entraineur de la première équipe c'est simple. Tu as besoin d'un joueur, tu le prends. C'est une connexion. On travaille tous ensemble. Les joueurs qui montent peuvent être performants dès le premier jour. Les jeunes sont très ouverts et courageux à l'idée de jouer. J'ai fait une blague il y a deux minutes à Quentin Ndjantou. Il fait ses débuts à Barcelone, et j'étais plus nerveux que lui. J'aime cette mentalité. Le plus important, c'est d'être content de voir tout le monde ensemble.
Le retour de L. Chevalier à Lille
Non, ce n'est pas un test. L'unique test que je vois c'est au niveau sentimental pour lui car il retourne à sa maison. Quand on signe un joueur, c'est parce qu'on pense qu'il sera important pendant longtemps. Il n'y a pas de test pour lui. On doit continuer à améliorer nos performances en tant qu'équipe.
Les performances des clubs français en Europe
Vous avez cette préoccupation du niveau de la Ligue 1. Je n'ai rien à dire. Je suis ici pour valoriser ce que fait notre équipe. Rien sur ce sujet.
Pour moi, en tant qu'entraineur du PSG, j'aime aller dans ce genre de stade. Lille, Lens... Dans chaque stade il y a beaucoup d'ambiance. Les joueurs aiment jouer ce type de match. Pour moi et pour les joueurs, c'est joli de jouer dans ces stades et cette ambiance.
Sur le match face au LOSC
Je peux dire qu'ils sont forts en tant qu'équipe. Nous les connaissons car on les a joué l'année dernière. On connait la difficulté de jouer là-bas. On ne veut pas perdre le match comme d'habitude. On sait la difficulté de jouer à l'extérieur et particulièrement à Lille.
Sur la montée en puissance de Vitinha
J'ai fait le même travail avec Vitinha qu'avec le reste des joueurs. C'est normal qu'on parle plus de Vitinha que d'autres joueurs. Pour moi, c'est l'un des deux meilleurs milieux du monde. J'essaye de faire progresser chaque joueur, pas seulement Viti. Il peut encore s'améliorer, et il est très important pour nous. C'est le travail de l'entraineur, et je suis très content de voir son évolution positive.
Sur les blessés face à Lille
Je ne sais pas si je dois parler en profondeur sur ça car c'est difficile en français. Je pense à la santé de mes joueurs et ne pas risquer quoique ce soit autour de leur santé. Joao Neves avait fait l'échauffement face au Barça, on pensait qu'il pouvait jouer, mais au final, il a eu cette blessure. Pour moi, c'est très important de ne pas prendre de risque.
Sur la marge de progression du PSG
Il y a encore beaucoup de choses qu'on peut améliorer. Mais notre niveau standard est très haut. Il y a eu des moments où l'adversaire a mieux joué que nous, mais on a eu ce caractère pour être dans le match tout le temps. C'est une caractèristique très difficile à avoir. Si on regarde les statistiques de l'an passé, tous les matchs qu'on a renversé dans les dernières minutes, et aussi cette saison contre Tottenham. On ne veut rien lâcher. Quand arrive la difficulté, on est prêt à la surmonter. Je suis content qu'on ait cette mentalité.
Warren Zaïre-Emery en Bleuets
Ce que je pense honnêtement, c'est que ça dépend de la mentalité de chaque joueur. Il faut poser cette question à Warren. C'est très individuel. Ca dépend de chaque joueur.
Les situations compliquées remontées par le PSG
Il n'y a pas de méthode. On cherche à avoir une identité. On veut jouer chaque match de la même manière. Pas de spéculation. Si l'adversaire est meilleur que nous, on peut féliciter l'adversaire. Mais pour nous, rien ne change sur notre mentalité. Si tu revoir le match face à Barcelone, on a fait la même chose à 1-1 et à 1-2. On a pressé de la même manière de la première jusqu'à la dernière manière.
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