PSG - Atalanta : La Ligue des Champions, Barcola, Luis Enrique... Marquinhos s'exprime en conférence de presse

  • PSG - Atalanta, J-1.
  • Marquinhos s'est présenté en conférence de presse.
  • Découvrez les déclarations du capitaine parisien face aux journalistes
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FBL-EUR-C1-PSG-PRESSER / FRANCK FIFE/GettyImages
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A la veille de la 1ère journée de Ligue des Champions pour le PSG, qui recevra l'Atalanta ce mercredi au Parc des Princes (21h00), Marquinhos, le capitaine parisien, a répondu aux questions des journalistes à Poissy.

Sur l'approche de la Ligue des Champions

Pardon pour le retour, et merci pour l'attente. On a plus d'expérience, on a vécu de belles choses l'an passé. La LDC, c'est la LDC. On a beaucoup de passion dans ces matchs. Il faut parfois calmer un peu l'équipe, ou parfois exciter un peu les joueurs. On a l'expérience de la saison dernière. Chacun gère ça à sa façon. C'est la beauté du groupe qu'on a aujourd'hui. Une très belle saison démarre, contre une très belle équipe. On va devoir affronter quelques autres très bonnes équipes. Chaque saison, chaque match a son histoire. On sera prêt pour demain.

Sur la motivation du PSG

C'est la philosophie du PSG, et c'est pour ça que nos supporters sont fiers de nous. Notre entraineur nous demande d'être à 100% et de tout donner, sinon, il s'asseoit sur le banc. Pour jouer au haut niveau, c'est comme ça. C'est physique, dynamique. Les équipes sont très équilibrées. Le titre ne se joue qu'à des petits détails. Notre équipe est comme ça, peu importe les joueurs sur le terrain.

Sur Lucas Chevalier

L'adaptation a été rapide. Il parle très bien français (rires). Lucas, ce n'est pas évident pour lui d'arriver dans une équipe comme ça après un gardien qui a fait une très belle saison. On le connaissait déjà, on a joué contre lui et on a vu son potentiel. C'est un gardien qui peut atteindre le plus haut niveau. Le coach, le staff, le président... Ils ont vu ça en lui. Il n'a pas eu de temps ppour s'adapter, il a eu la Supercoupe d'entrée. Il a profité de son opportunité, et il montre à tous les matchs ses qualités. Chaque joueur a ses qualités. Il a un profil différent de Gigio, et il va nous apporter de très belles choses. J'espère qu'il sera décisif pour nous. Il est prêt et il est bien pour demain.

La phase de ligue compliquée l'an passé

L'important, c'est comment ça se termine. On veut tout de suite bien commencer. On ne peut pas savoir comment va être notre parcours cette saison. L'an dernier, le parcours a été difficile mais on a bien fini. Le match de demain peut être complètement décisif pour une qualification. On tient à faire un bon match demain, surtout à la maison. L'an passé, on a eu quelques dérapages. Il faut être à 100% et avoir un bon résultat chez nous. A l'extérieur c'est très difficile d'aller chercher des points.

Gagner deux Ligues des Champions

C'est notre ambition, c'est notre faim. C'est pour ça qu'on continue à travailler, à se battre tous les jours à l'entrainement. Gagner une deuxième Ligue des Champions, ça nous motive. Le coach nous motive chaque jour, le président aussi. Une fois que tu as goûté à ça, tu ne veux plus vivre les moments d'échec. Après une victoire comme ça, tu n'es pas fatigué, malgré le calendrier. On veut continuer à s'améliorer. Notre équipe est très jeune, il ne faut pas oublier ça. Moi, à 31 ans, je veux gagner encore plus. L'objectif est encore devant nous, et il faut y aller pas à pas. Le chemin sera très compliqué. On va se battre à chaque match.

Sur son avenir au PSG

Si je suis là depuis 13 ans, c'est parce que je me suis bagarré à chaque entrainement, ce n'est pas un cadeau que j'ai reçu. La concurrence, ça te pousse et te motive à faire encore plus. C'est un très bon défenseur, très jeune, qui peut encore grandir. Moi je vais essayer de l'aider quand il en aura besoin. La gestion du coach sera importante cette saison. Ma mère m'a appris ça quand j'étais petit : n'échange pas un ami contre un ballon. Il faut bosser, et être honnête avec tous tes coéquipiers. Et ensuite, c'est au coach de choisir qui va jouer.

Sur son état d'esprit détendu

Quand tu atteins ton objectif, tu as une fierté dans le coeur qui ne partira pas. Il faut quand même rester attentif et ne pas se relâcher autant. Les plus expérimentés, le coach et les dirigeants nous poussent toujours à continuer, à vouloir plus. Il ne faut pas trop regarder en arrière. On a fait quelque chose d'énorme et continuer à avoir faim de vouloir plus.

Sur Bradley Barcola

C'est toujours un honneur et une fierté, quand tu vois un jeune joueur briller comme ça, mais ce n'est pas du tout une surprise pour nous. C'est toujours un joueur très décisif, mais peut-être que les gens ne s'en rendent pas compte. Il ne faut pas dégager toute la pression de l'attaque sur Barcola. Notre collectif est très fort. On a vu des joueurs clés qui n'étaient pas des attaquants marquer des buts : Fabian Ruiz, Achraf Hakimi, Joao Neves... Bradley est très jeune mais il a beaucoup de qualité.

Sur l'Atalanta et la présence de Kvaratskhelia

C'est toujours mieux de jouer avec l'effectif au complet. Mais ceux qui seront sur le terrain et ceux qui vont rentrer vont tout donner. L'Atalanta a sans doute changé depuis la dernière fois qu'on a joué contre eux. On a vu ce qu'ils font, comment ils défendent, comment ils attaquent. Chaque match a son histoire. On sait comment s'adapter, surtout quand les choses ne vont pas. On sera à la maison, devant nos supporters. On voudra beaucoup attaquer, et donner le maximum sur le terrain. Ce sera un match très important face à une équipe italienne.

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