PSG : Thomas Tuchel considère ce quart de finale comme un "cadeau"
Par Morgan Piot
Avant la rencontre face à l'Atalanta, Thomas Tuchel est passé par la traditionnelle conférence de presse d'avant-match. Redoutant au plus haut point l'Atalanta, il considère, pour autant, ce quart de finale de la Ligue des Champions comme un "cadeau".
À seulement deux jours d'un quart de finale de la Ligue des Champions palpitant contre l'Atalanta à Lisbonne, les Parisiens poursuivent leur préparation à Faro, au Portugal.
Avant le choc face aux Bergamasques, Thomas Tuchel s'est exprimé sur le canal officiel du club, en apportant sa vision sur ce nouveau format concocté par l'UEFA où "certaines choses peuvent être différentes, comme nos changements, car nous savons qu'il n'y aura pas de match retour."
""Nous n'aurons pas la possibilité de corriger les choses d'un match à l'autre.""
- Thomas Tuchel
Le PSG est prêt
Après une campagne de préparation rondement menée, deux finales de Coupe remportées, le Paris Saint-Germain est prêt selon Thomas Tuchel.
""Pour moi ce quart de finale est un cadeau.""
- Thomas Tuchel
Comprenez bien, l'entraîneur allemand considère cette rencontre comme une bénédiction et un instant fabuleux à vivre. "Nous sommes une équipe très forte ensemble, nous avons déjà remporté quatre titres ensemble cette saison et je suis très heureux d'être le coach de Paris. C'est un cadeau pour moi."
Forces et faiblesses
Légèrement décriée ces derniers jours, cette équipe parisienne n'a pas encore donné entière satisfaction sur le terrain depuis le restart du football français.
Encore légèrement empruntés, les coéquipiers de Neymar doivent encore trouver une certaine cohésion et des automatismes sur le carré vert, avant de pouvoir mettre définitivement la machine en marche. Pour autant, Thomas Tuchel n'est pas inquiet et compte essentiellement sur la solidité défensive de Keylor Navas pour faire la différence.
""La clé pourrait être Keylor Navas avec son expérience et sa personnalité.""
- Thomas Tuchel
Moins offensifs, les Parisiens pourraient faire la différence sur leur capacité à être solidaires : "je peux sentir que l'équipe joue ensemble, mais ils peuvent aussi travailler ensemble, souffrir ensemble, et rester ensemble quand ils n'ont pas le ballon."
Verdict ce mercredi 12 août.