Les 8 plus belles punchlines de Leonardo au PSG

Leonardo a la punchline facile
Leonardo a la punchline facile / Harold Cunningham/Getty Images
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Le directeur sportif du PSG est un fin communicant, en témoigne sa réponse cinglante à Juninho, qui s'en était ouvertement pris à Neymar. Habitué des déclarations retentissantes, le Brésilien nous a gratifié de bien des punchlines durant ses deux mandats dans la capitale.

1. "Mbappé, tout le monde le veut, personne ne peut"

Au sortir d'un match de Ligue des Champions contre Bruges, Leonardo fait comprendre aux prétendants du champion du monde français qu'ils n'ont pas les moyens de se l'acheter... et avec le sourire bien sûr.

2. "Le grand blond, il fait du yoga"

Après la défaite du PSG en huitièmes de finale aller de Ligue des Champions contre Dortmund, Leonardo remotive les joueurs à sa manière. Le directeur sportif tacle Haaland, buteur à l'aller, pour donner la hargne aux Parisiens. Au match retour le PSG se qualifiera et chambrera le Norvégien avec sa propre célébration en fin de match.

"Le grand blond (Haaland), il fait du yoga, le directeur sportif de Dortmund parle de l'argent du Qatar, les joueurs cherchent déjà contre qui ils vont jouer en quarts de finale. Pour eux vous êtes faciles à battre, vous n'êtes pas des joueurs de haut niveau."

3. "Faire juste des toros, et tirer au but ce n’est pas possible"

Leonardo a dézingué le football français en 2012
Leonardo a dézingué le football français en 2012 / BERTRAND GUAY/Getty Images

En 2012, Leonardo a trouvé la solution aux manques de résultats des clubs français en Ligue des Champions. Le Brésilien tacle leurs méthodes de travail et se met entraîneurs et chroniqueurs à dos :

"Être en haut, en championnat ou en Ligue des champions, ce n’est pas qu’une question d’argent. Il n’y a pas de culture de la gagne ici. Le niveau de préparation des joueurs et des entraineurs est vraiment bas. Faire juste des toros, et tirer au but ce n’est pas possible. Au PSG, on a changé la méthodologie et on a eu six claquages. Sakho, il avait trois kilos en trop mais il ne le savait pas. La base de travail chez les joueurs n’est pas là. Si la France perd une place à l’indice UEFA, c’est que cela ne marche pas."

4. "Il travaille aussi à la commission juridique de la Ligue ?"

Leonardo et Jean-Michel Aulas
Leonardo et Jean-Michel Aulas / John Berry/Getty Images

Les propos sont directement dirigés à l'encontre de Jean-Michel Aulas. Le président de l'OL venait d'accuser Ibrahimovic de s'être essuyé les crampons sur Dejan Lovren.

Ce à quoi Leonardo répond "Aulas, il est qui pour juger ? [...] Attendez, Aulas, il fait quoi ? Je ne comprends plus très bien. Il travaille aussi à la commission juridique de la Ligue ?".

5. "Beckham ? On l'a pris pour vendre des maillots"

David Beckham et Leonardo
David Beckham et Leonardo / MARTIN BUREAU/Getty Images

La punchline est bien évidemment ironique. A l'issue d'un match moyen de sa star anglaise contre l'OM, Leonardo se paye les journalistes français avec sarcasme.

"On l’a pris uniquement pour faire des photos, des conférences de presse et vendre des maillots. C’est pour ça qu’on l’a pris. C’est la confirmation aujourd’hui. C’est à vous de juger, les experts qui connaissent le foot, les consultants extraordinaires qui ont dit que David Beckham était venu pour ça. On est là."

6. "Le PSG a été bâti pour l'Europe, et pas pour ce genre de matchs"

En 2013, après une défaite à Reims, Leonardo trouve comme seule excuse la Ligue des Champions. Une déclaration qui passera très mal sur les réseaux. D'autant que les Parisiens ne dépasseront pas les quarts de finale ensuite.

7. Le Parc des Princes, "un stade vieux et inadapté"

Leonardo dans l'ancien Parc des Princes
Leonardo dans l'ancien Parc des Princes / PIERRE VERDY/Getty Images

Osé de la part de celui qui ne voulait pas jouer ailleurs dans cette enceinte mythique en tant que joueur au PSG. Fait est que le Parc sera rénové plus tard, pour le plus grand plaisir de son directeur sportif.

8. "Transparent ?"

Parfois, un rire suffit. Comme lors de cette séquence où Leonardo est invité à s'exprimer sur le prix demandé pour un éventuel transfert de Neymar.