Les 6 raisons de croire en une remontada du Real Madrid contre Manchester City

Karim Benzema est le facteur X.
Karim Benzema est le facteur X. / Catherine Ivill/GettyImages
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Le Real Madrid est face à une montagne à gravir. Afin de rallier sa 17ème finale de Ligue des champions, la Casa Blanca devra renverser l'ogre de Manchester City. Défaits 4-3 Outre-Manche, les Merengue s'avancent confiants malgré tout. Ils croient en leur remontada. Pour nous aussi, si un club peut le faire, c'est bien celui du capitaine Benzema.


Les 6 raisons d'y croire

1. Karim Benzema, dans la forme d'une vie

Karim Benzema
Karim Benzema a les cartes en mains. / Gonzalo Arroyo Moreno/GettyImages

Un homme peut encore changer la face de cette rencontre. L'inébranlable Karim Benzema. L'international Français a déjà inscrit 14 buts cette saison en Ligue des champions. Le capitaine du Real Madrid a encore inscrit un doublé à l'aller. Sur un ballon exploitable, l'ancien Lyonnais pourra offrir la qualification à son équipe.

Encore faut-il que ces caviars arrivent... En s'appuyant sur lui, l'équipe peut renverser des montagnes. Carlo Ancelotti devra trouver la formule gagnante.

2. Un mental d'acier

Luka Modric
Luka Modric en a vu d'autres. / Gonzalo Arroyo Moreno/GettyImages

Cette équipe l'a déjà prouvé aux deux tours précédents. Elle est capable de miracle et d'afficher un mental d'acier. Face au Paris Saint-Germain, remontada en moins de 15 minutes. Face à Chelsea, un but dans les dix dernières minutes et un autre lors des prolongations. Dos au mur, les individualités se mettent en place pour renverser les situations.

Face à Manchester City, cela ne fera pas exception. Les Citizens savent qu'un duel d'anthologie les attend jusqu'au coup de sifflet final. En face, ça e fera aucun cadeau.

3. Une force collective et d'expériences

Lionel Messi, Toni Kroos, Casemiro, Luka Modric
Le trio du Real sait comment gérer ces rencontres. / Shaun Botterill/GettyImages

L'expérience est clairement du côté du Real Madrid. Les Merengue ont un groupe solidifié d'années de Ligue des Champions. En face, aucun joueur n'a autant de savoir qu'un Toni Kroos, qu'un Luka Modric ou même qu'un Casemiro. Ne parlons pas non plus de Karim Benzema, David Alaba voire même Nacho qui connaissent ces matchs à enjeux.

La force collective que peut dégager ce Real est effrayante. Les errances défensives de l'un sont compensées par les retours de l'autre... Un groupe de guerriers prêt à rallier la finale quoi qu'il en coûte.

4. Un Bernabeu porte-bonheur

Karim Benzema
Chelsea et le PSG sont déjà tombés ici. / David Ramos/GettyImages

Le Santiago Bernabeu a déjà porté chance aux Madrilènes. Que ce soit face au PSG ou Chelsea, l'enceinte mythique de Madrid a vu cette équipe triomphé contre toute attente parfois. Même à 0-3 face aux Blues, le public n'a pas cessé d'y croire. On sait que n'importe quel joueur peut illuminer Madrid de sa classe.

Il règne dans ce stade une ambiance de sérénité peu importe le scénario. On a l'impression que contre vents et marées, même face à une grosse adversité, à la fin c'est toujours le Real qui gagne.

5. Un titre de Liga qui donne des ailes

Spanish football team Real Madrid celebrates with 25,000...
Le Real a remporté le titre. / SOPA Images/GettyImages

Juste avant de disputer le match le plus important de sa saison, le Real Madrid s'est mis dans les meilleures dispositions. Face à l'Espanyol (4-0), les coéquipiers de Karim Benzema ont remporté le titre de champion d'Espagne. Un sacre en Liga à quatre journées de la fin.

Comme un symbole, ce 35ème trophées de Liga intervient juste avant ce retour fatidique. La confiance, la cohésion et la détermination seront encore plus du côté des Merengue. Ces 90 minutes peuvent être les dernières de la saison, quelque part pour ce groupe.

6. Manchester City les a laissés en vie

Josep Guardiola
Pep Guardiola le sait... / Chris Brunskill/Fantasista/GettyImages

La seule erreur que Manchester City a produit sur ce match aller est d'avoir laissé le Real dans la course. Les Citizens ont encaissé trois buts sur des situations évitables. On se rappelle du penalty offert par Aymeric Laporte à Karim Benzema.

Pep Guardiola le sait: son équipe aurait dû gagner beaucoup plus largement. Carlo Ancelotti et sa bande sont encore en vie, prêt au braquage. Un but d'entrée et les revoilà même avec le Momentum... Une erreur létale ? Réponse mercredi soir.