Coupe du monde 2026 : Un changement des villes hôtes de la compétition, la folle annonce de Donald Trump

  • La Coupe du Monde 2026 aura lieu au Canada, aux Etats-Unis et au Mexique.
  • Donald Trump s'est exprimé à propos du tournoi.
  • Le président américain avait déjà été un acteur important lors de la finale de la CDM des clubs.
D. Trump - Président des USA
D. Trump - Président des USA / Jean Catuffe/GettyImages
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À moins d’un an du Mondial 2026, Donald Trump a menacé de déplacer certains matchs prévus aux États-Unis. Le président estime que la sécurité ne serait pas garantie dans plusieurs villes démocrates appelées à accueillir la compétition.

Donald Trump a évoqué jeudi la possibilité de relocaliser certaines rencontres de la Coupe du monde 2026, prévue aux États-Unis, au Canada et au Mexique, si la sécurité des participants n’était pas garantie dans certaines villes américaines.

Interrogé depuis le Bureau Ovale, le président a assuré vouloir prendre toutes les mesures nécessaires : "Nous allons nous assurer qu’elles soient sécurisées. Elles sont gérées par des cinglés de gauche qui ne savent pas ce qu’ils font." Avant de préciser : "La sécurité sera assurée pour le Mondial. Si je juge qu’elle ne l’est pas, nous déplacerons (des matchs) dans d’autres villes."

L'idée inédite de Donald Trump

Le chef de l’État américain a également élargi son propos aux Jeux olympiques de Los Angeles en 2028 : "Si nous pensons qu’une ville va être, même rien qu’un peu, dangereuse pour le Mondial ou les Jeux olympiques, nous ne laisserons pas les matchs se dérouler, nous les déplacerons un peu."

Dans ses critiques, Donald Trump a notamment pris l’exemple de Chicago, en dénonçant ses statistiques criminelles… alors même que la ville ne figure pas parmi les hôtes retenus pour le tournoi.

La Coupe du monde 2026 représentera un défi logistique inédit pour la Fifa, avec des matchs répartis dans 16 villes d’Amérique du Nord, dont 11 aux États-Unis. Plusieurs bastions démocrates accueilleront des rencontres, notamment Los Angeles (8 matchs), Seattle et San Francisco (6 chacun). L’administration Trump a déjà déployé la garde nationale dans certaines de ces villes au cours de l’année, malgré les réticences des autorités locales.

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