Coupe du monde 2026 : Les mascottes de la compétition dévoilées, et elles font débat

  • Trois mascottes officielles pour une première Coupe du monde organisée sur trois pays.
  • Maple (Canada), Zayu (Mexique) et Clutch (États-Unis) incarnent la culture et l’histoire de chaque nation.
  • Les choix et le style graphique suscitent des critiques, notamment pour le Mexique et l’usage de l’IA dans la création.
La Coupe du monde 2026 débutera le 11 juin et se terminera le 19 juillet.
La Coupe du monde 2026 débutera le 11 juin et se terminera le 19 juillet. / Luke Hales/GettyImages
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La FIFA a levé le voile sur les mascottes de la prochaine Coupe du monde 2026, qui se déroulera aux États-Unis, au Mexique et au Canada. Trois animaux symboliques représenteront les pays hôtes, mais leur design et leur pertinence font déjà parler.

Pour la première fois dans l’histoire du football, une Coupe du monde se déroulera sur trois pays. Pour marquer le coup, la FIFA a présenté trois mascottes officielles : Maple, un élan pour le Canada, Zayu, le jaguar pour le Mexique, et Clutch, l’aigle américain. Chacune a été pensée pour refléter les caractéristiques et l’histoire culturelle de son pays. Selon Gianni Infantino, ces mascottes doivent incarner la fête, l’énergie et l’enthousiasme qui accompagneront cet événement unique.

Maple, vêtu de rouge et symbole de l’érable canadien, sillonne virtuellement le pays, tandis que Clutch, l’aigle, survole les États-Unis avec optimisme et dynamisme. Zayu, le jaguar, représente le Mexique, rappelant l’animal vénéré par les Mayas. La FIFA insiste sur la valeur culturelle et festive de ces créations, qui seront également présentes dans les produits dérivés et pour la première fois dans le jeu vidéo FIFA Heroes.

Pourquoi ces mascottes divisent déjà les fans

Si la FIFA vante leurs qualités, les réactions sur les réseaux sociaux sont mitigées. Beaucoup soulignent que le design semble généré par l’IA et manque de charme. L’animal choisi pour le Mexique fait débat : certains regrettent que l’on ait choisi un jaguar plutôt que l’aigle déjà présent sur le drapeau national.

Ces critiques pointent notamment, malgré leur rôle festif, le fait que les mascottes ne font pas l’unanimité et que le public est très exigeant sur la représentation symbolique de son pays hôte.

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