Le XI des Flops brésiliens passés par la Ligue 1

Ronaldinho et son frère Roberto de Assis n'ont pas connu le même succès en Ligue 1...
Ronaldinho et son frère Roberto de Assis n'ont pas connu le même succès en Ligue 1... / DOMINIQUE FAGET/Getty Images
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Comme annoncé, la "pépite" de Botafogo, Luis Henrique, va s'engager avec l'OM contre 10 millions d'euros. Un pari tenté par le club phocéen mais loin d'être le premier de la Ligue 1.

Vous connaissiez la Ligue 1 "Joga Bonito" ? Vous allez désormais vous rappeler de la Ligue 1 "Jean-Claude Robignaud". Aujourd'hui, retour sur les pires passages des Brésiliens dans le championnat de France avec un onze flop de qualité.

1. Macedo Magno Novaes

Macedo Magno Novaes en pleine sortie académique
Macedo Magno Novaes en pleine sortie académique / VALERY HACHE/Getty Images

Seuls trois gardiens Brésiliens ont foulé les pelouses de Ligue 1 dans l'histoire du championnat et les 3 ont fait un passage loin d'être mémorable. On a donc décidé de mettre à l'honneur Macedo Magno Novaes et sa moyenne d'un but encaissé toutes les 40 minutes.

2. Douglao

Douglao sous les couleurs de Braga après un passage raté à Nantes
Douglao sous les couleurs de Braga après un passage raté à Nantes / MIGUEL RIOPA/Getty Images

Après un premier match désastreux avec Nantes contre Monaco, Douglao est moqué par ses propres supporters et ne disputera que cinq matchs avec les Canaris avant de quitter l'Hexagone.

3. Cesar Augusto

Cesar Augusto (droite) avec Rennes
Cesar Augusto (droite) avec Rennes / VALERY HACHE/Getty Images

Le défenseur central brésilien débarque à Paris avec l'étiquette de finaliste de Copa America... avant d'être transféré à Rennes l'année suivante pour cinq millions d'euros.

4. Geraldão

Puisque c'est l'occasion de vanner les joueurs dont le nom termine en "ao", allons y. Comme Douglao, Geraldão s'est fait vanné par son propre camp.

Soi-disant spécialiste des coups francs, ce dernier n'en a bien sûr calé aucun et s'est montré trop lent et juste techniquement pour persévérer au PSG.

5. Antonio Geder

Antonio Geder (droite) au duel avec Camel Meriem
Antonio Geder (droite) au duel avec Camel Meriem / JEAN FRANCOIS MONIER/Getty Images

Le passage d'Antonio Geder au Mans entre 2008 et 2010 s'est soldé sur une résiliation à l'amiable et une nomination au Ballon de Plomb lors de sa dernière année en Ligue 1. Inutile d'en rajouter.

6. Vampeta

Vampeta et son flow bien à lui
Vampeta et son flow bien à lui / KAZUHIRO NOGI/Getty Images

Sept matchs avec le PSG lors de sa seule saison au club en 2001. Le champion du monde avec le Brésil l'année suivante s'est plus fait remarquer pour ses frasques en dehors du terrain que pour ses performances sur la pelouse.

7. Edmilson Goncalves

Venu pour remplacer Leonardo et près de 14 matchs sans marquer un seul but avec le PSG lors de l'année 1997, Edmilson repart d'où il était venu, au Brésil, avant de tomber dans l'oubli. Son nom réapparaît de temps en temps au moment d'établir des listes de flops.

8. Roberto De Assis

Roberto De Assis est le frère de Ronaldinho
Roberto De Assis est le frère de Ronaldinho / DOMINIQUE FAGET/Getty Images

Alors que le Paris Saint-Germain engage Ronaldinho à l'été 2001, Montpellier opte pour la version Ali Express et fait venir son frère, Roberto, la même année.

9. Lucas Severino

Lucas Severino (droite) face à Saint-Etienne
Lucas Severino (droite) face à Saint-Etienne / GERARD MALIE/Getty Images

Pour marquer le nouveau millénaire, Rennes fait péter le chéquier et sort 21 millions d'euros pour ce qui reste encore le plus gros transfert du club.

Quatre buts en 28 matchs lors de sa première saison et deux buts en 33 rencontres lors de la deuxième. Pas mal pour celui qui était annoncé comme le "futur Ronaldo".

10. Luis Fabiano

Luis Fabiano (gauche) en mode beau gosse à son arrivée à Rennes
Luis Fabiano (gauche) en mode beau gosse à son arrivée à Rennes / MARCEL MOCHET/Getty Images

Luis Fabiano avec le Stade Rennais, c'est 0 but en 12 matchs. Une statistique simple mais efficace qui lui vaut sa place d'avant-centre dans ce onze de légende. De son côté, Rennes ne s'est jamais aussi bien porté qu'en arrêtant de miser sur le Brésil pour dénicher sa future pépite.

11. Everton Santos

Arrivé au PSG en se comparant à Robinho, Everton Santos repart de la capitale avec le surnom de "Jean-Claude Robignaud", une anecdote qui à elle seule en fait le capitaine de ce onze des Brésiliens qui auraient mieux fait de ne pas s'approcher de l'Hexagone.